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Magnifique paire de bougeoirs Empire attribuée à Louis-Isidore Choiselat

Paire de bougeoirs Empire attribuée à Louis-Isidore Choiselat (1784-1853)

Paire de bougeoirs Empire en bronze doré, absolument rares et somptueusement décorés, attribués au bronzier parisien Louis-Isidore Choiselat. La collection du Mobilier National à Paris possède une paire comparable, livrée par Louis-Isidore Choiselat au palais de Saint-Cloud. Ces bougeoirs étaient utilisés dans les pièces les plus importantes du palais, ce qui est évident quand on voit la qualité de cette paire. Notre paire de bougeoirs Empire est encore plus exceptionnelle par la richesse et la variété des motifs décoratifs très finement ciselés. La dorure au mercure d’origine a également été remarquablement préservée.

D’une base circulaire à décor stylisé de fleurs et d’étoiles, disposées en plusieurs sections annulaires concentriques, jaillit la tige qui repose sur un support en forme de vase inversé. Cette tige a un design très rare, puisqu’elle commence en forme de poire à la base, mais en remontant, la forme se transforme en la forme plus familière d’un cylindre effilé.

Le support et la partie en forme de poire de la tige présentent un motif floral absolument fascinant et unique. Séparée par plusieurs anneaux, la partie supérieure de la tige présente un motif d’étoiles sur un fond pointillé. Enfin, la tige est couronnée par un chapiteau au motif de feuilles ciselées.

Chef-d’œuvre du bronze ciselé et doré parisien, ces bougeoirs français ont été exécutés dans une excellente qualité avec une dorure au mercure mate et brillante. Ils sont dans un excellent état de conservation.

Détails de cette paire de bougeoirs Empire

Paris, époque Empire vers 1815.
Hauteur 27 cm, diamètre de la base : 12,5 cm.
Poids : 2,0 kg (pour la paire).

Louis-Isidore Choiselat (1784-1853)

Louis-Isidore Choiselat (1784-1853), dit Choiselat-Gallien, est un orfèvre, bronzier, fondeur, ciseleur et doreur parisien. Il était l’un des principaux bronziers parisiens de son temps. Fils d’un marchand de sel parisien, il est apprenti chez le bronzier Jean-Baptiste Matthieu Gallien. Il épouse ensuite la fille de Gallien, Ambroisine Marie (1794-1861), et reprend l’affaire de son beau-père au 93 rue de Verrerie à Paris.

Littérature

  • Collection du Mobilier National, Paris.

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